sur ces précédents est donc pas surprenant dirigé la folie de l'assaut de la caserne Moncada en 1953 et conduit l'invasion de 56: "A partir seulement sept fusils, ne pas hésiter à poursuivre la lutte dans la Sierra Maestra après notre détachement de 82 les hommes, par manque d'expérience et d'autres facteurs défavorables, a été attaqué par surprise avant d'atteindre les contreforts des montagnes. En seulement 25 mois, nos héroïque peuple vaincu cette armée, équipé d'armes, l'expérience du combat, les communications, les centres de formation et des conseils avec lesquels les États-Unis ont maintenu un contrôle total de notre pays et de notre depuis plus d'un demi-siècle Amérique. "
La Révolution de 1959 qui a finalement fini par la connexion avec le communisme et l'URSS, et dans les années 60, avait un racines essentiellement locales et nationaliste, non marxistes: «Je parle à peu près le peuple cubain, qui a déjà balayé son domaine de pays États-Unis, lorsque le système impérialiste avait atteint le dôme de sa puissance. Notre révolution a émergé dans l'endroit le moins attendu par l'empire, dans un hémisphère où il a agi comme seul propriétaire. Cuba est devenu le dernier pays à se débarrasser de l'espagnol joug colonial et le premier à secouer la tutelle impérialiste odieuse ».
Dans ses écrits, ce qui abonde est une exaltation de la nationale.
En dépit d'être un homme et beaucoup de culture et des lectures abondantes (il a étudié le droit à l'Université de La Havane) elle n'a jamais prouvé une connaissance approfondie de la théorie économique marxiste, mais les méthodes de contrôle politique du léninisme et le stalinisme.

Donc, ses écrits ultérieurs, comme beaucoup de vieux, suintent le nationalisme et les théories du complot: "Non seulement sur le ballon agression impérialiste a lieu. Il y a quelques mois, une partie de notre équipe de soccer masculin se laissa entraîner à la trahison aux Etats-Unis, ce qui réduit les perspectives de Cuba dans ce sport sur la scène internationale. Un athlète olympique de judo, près d'un médaillé d'or bien sûr, a été soudoyé. Ils achètent nos athlètes, nous arrachera cinq médailles d'or en sécurité dans la boxe olympique. Il est un appel à l'abattage contre Cuba voler les cerveaux, les muscles et les os ".
Fidel Castro incarné et inspiré avant-gardes politiques des années 60 et 70, mais depuis le 80 a été réduit à rester une sorte de politique extinction des dinosaures que leur monde est effondré: le mur de Berlin et l'effondrement de l'URSS, tandis qu'en Amérique latine triompha politiques d'ouverture économique dans le monde et dans les pays en voie de démocratisation.

Cependant, Fidel Castro est resté ancré dans leur monde où la guerre froide fait sentir beaucoup plus confortable. Alors que compasaba le bloc de l'Est et de la canne du mur de Berlin, il a fait un éloge de dirigeants communistes qui tombaient partout: «L'Allemand le plus révolutionnaire, j'ai rencontré Erich Honecker était. Guardo au plus profond sentiment de solidarité de Honecker ".
Un monde où l'ennemi était clairement définissable: le capitalisme et en particulier aux États-Unis. En ce sens, il aime en face de Fidel Castro étaient «progressiste» que John Fitzgerald Kennedy, Jimmy Carter, Bill Clinton ou Barack Obama, ou conservateurs comme Richard Nixon, Ronald Reagan ou George W. Bush.
Fidel Castro, un homme de la guerre froide
Ses diatribes contre Washington étaient toujours mémorable, et est allé tout le chemin en écrivant par exemple: «Dans notre pays, les problèmes ici sont liés, n'existent pas; Pourquoi est-ce que l'empire essaie de le rendre par la faim et de l'hostilité? Un demi-siècle n'a pas été suffisant, et je doute que la règle a fourni un autre demi-siècle avant, plutôt tôt que tard, sombrer dans son bourbier. Combien de temps les empires des leçons de l'histoire! Forget. "

Saw tous les présidents des États-Unis comme un exemple de l'impérialisme américain, ils étaient plus jeunes Bush ou Obama: «La continuité d'une politique par le Président qui a succédé au délire W. Bush, inventeur de la guerre menée à saisir les ressources de gaz et le plus important dans le monde dans une région habitée par plus de 2,5 milliards de "pétrole.
Lutte contre les Etats-Unis a été fait contre l'idéologie qui a incarné le capitalisme.
D'où ses mouvements de bienvenue comme 15-M espagnol de la rhétorique sesentaiochista: "Les villes les plus importantes des États-Unis et en Europe reflètent la poursuite des batailles rangées entre les manifestants et la police ... montrer au monde les actes ignobles commis contre les droits et la vie des citoyens de leur propre pays ».
Dans l'arrière-plan était communiste fondamentaliste plus puritain comme on le voit dans leur rejet du sport professionnel ( «voir comment ils se vantent de leur acte faute contre le pays. Tout le monde savait parfaitement que dans la boxe Cuba obtiendrait presque toutes les médailles d'or. Il y avait ce coup, non seulement acheté deux athlètes qui étaient sûrs d'or, mais a battu l'excellent moral des autres athlètes qui ont continué courageusement défendre leurs médailles d'or. Même dans les juges ont influencé le coup bas ") ...
.... l'homosexualité et de la libéralisation de la drogue.

Fidel Castro a vu sa lutte contre les Etats-Unis comme un projet régional entre autres la nécessité de trouver des alliés et de diversifier leurs fronts ennemis. Les années 60 et 70 ont une course effrénée pour trouver ces alliés de financement et d'aider les guérilleros d'Amérique latine.
L'un de ces alliés était Salvador Allende dans les années, le 7e est venu pour soulager la solitude géostratégique dans lequel il se trouvait: «Pour vous, vous est tombé le privilège unique d'être le conducteur à ce moment décisif dans l'histoire du Chili et de l'Amérique, comme le point culminant d'une vie de lutte, comme vous le dites dans le stade, consacré à la cause de la révolution et du socialisme. Aucun obstacle ne peut être invincible. Quelqu'un a dit que dans une révolution de l'avant avec 'audace, de l'audace et de plus d'audace. "
En fin de compte, le régime de Hugo Chavez était vital pour la survie de Fidel Castro.
Cuba de Castro 90 a survécu et plus tard ces dures années a trouvé un nouvel allié, Hugo Chavez a donné le souffle d'arriver en vie le régime de la deuxième décennie du siècle.

Pour Fidel, «la Révolution bolivarienne a été aussi la solidarité avec notre pays, et son soutien à notre pays est devenu un fait d'une grande importance dans les années de la Période spéciale. Cette coopération n'a cependant pas été le résultat d'une demande de Cuba, ni ne crée aucune condition exigeant le peuple de nos services éducatifs ou médicaux. Au Venezuela, il aurait offert en aucun cas le maximum de soutien ".
Castro vit bientôt Chavez comme un allié potentiel quand il a reçu triomphalement en 1996: «Je faisais attention à l'immense foule qui se sont rassemblés sur les places et les avenues de Caracas et en particulier les mots spontanés des citoyens interrogés. Rarement je l'ai vu, et peut-être jamais, le niveau d'excitation et l'espoir qu'ils mettent dans leurs déclarations. On pouvait voir clairement que la grande majorité de la population est constituée de modestes travailleurs. Une véritable bataille des idées est combattu dur. "
Sans aucun doute, Fidel Castro a marqué un point et une partie de l'histoire du XXe siècle. Il a fait une petite île des Caraïbes un acteur majeur dans la lutte entre le facteur deux géants pendant la guerre froide. La seule fois dans l'histoire où le monde était sur le point d'aller à un conflit nucléaire était à cause de la crise des missiles.
Son exemple fait de la gauche régionale choisirait la violence comme un moyen d'accéder au pouvoir. Il a succédé à l'Union soviétique un soutien quasi inconditionnel de la révolution et exportée à travers l'Atlantique: le triomphe du communisme en Angola entirende non sans castrisme.

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Qu'en est-il Fidel Castro, une fois disparu? Peut-être était la dernière personnaliste latine caudillo américaine ancienne (très similaire au XIXe siècle) et le premier dictateur qui a dirigé un régime totalitaire en Amérique latine au XXe siècle. Il était un mélange de Porfirio Diaz et Staline. Il a utilisé habilement clientélisme et cooptation propre capacité mexicaine et implacable de détruire des rivaux russes.
Mais d'abord et avant tout était Fidel Castro. Peut-être vous pouvez appliquer le même qu'un jour, il dit lui-même dans un de ses articles: «Ce que j'appris d'Aristote, le plus célèbre philosophe dans l'histoire de l'homme. L'être humain est capable de merveilleuses actions ou les pires inégalités. Leur intelligence étonnante est capable d'utiliser les lois immuables de la nature pour le bien ou mal

Especial para Infolatam por Rogelio Núñez

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tomado de

http://www.infolatam.com/2016/11/26/fidel-castro-hombre-cambio-la-historia-cuba-america-latina/

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