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Près d'une centaine quartiers de la capitale bolivienne, La Paz, où environ 400.000 personnes vivent, ne disposent pas d'un accès régulier à l'eau potable pour presque il y a une semaine. Derrière ce problème est la grave sécheresse qui sévit dans le pays andin et le manque de prévoyance de la société d'État responsable de l'approvisionnement, EPSA. Le président bolivien Evo Morales, visiblement inquiets de l'inconfort de la population, ses excuses pour la négligence de l'entreprise et a tiré son manager et responsable de la supervision de l'approvisionnement en eau du pays. Cependant, en même temps, il reconnaît qu'il y a une solution à ce problème à court terme.
EPSA a annoncé il y a une semaine rationnement de l'eau en abaissant le niveau de l'eau accumulée dans les réservoirs qui alimentent le système d'approvisionnement dans le sud de La Paz, la ville la plus peuplée et riche. Toutefois, étant donné que la panne d'électricité était presque complète, avec de brèves interruptions qui ne parviennent pas aux familles affectées pour couvrir leurs besoins de toilettage. Morales a annoncé que le système a annoncé avec un barrage qui, jusqu'à présent avait servi d'autres quartiers et a commencé à creuser des dizaines de puits. Ces moyennes, cependant, ne sont que des palliatifs: sans pluie significative dans la région de l'Altiplano bolivien, qui cette année souffre d'une sécheresse due au phénomène El Nino, le problème sous-jacent ne disparaîtra pas. La zone sud de La Paz dépend des précipitations, tandis que le nord et le centre de la ville reçoivent meltwater des montagnes qui entourent la ville, de sorte que la situation dans ce dernier est, pour le moment, normal.
La société d'État responsable de la fourniture a souligné que le rationnement sera bref, car la saison des pluies imminente. Cependant, ceux-ci ne sont probablement pas assez pour remplir les barrages dont le débit est maintenant entre 5% et 20% du total.
crise politique
L'eau potable de La Paz a été organisé par une filiale de la multinationale française Suez Lyonnaise jusqu'en 2007, année où a été nationalisée par le gouvernement de Morales, qui est arrivé au pouvoir un an plus tôt avec le slogan de transformer l'eau potable " un droit humain ", de sorte que dans aucun cas, obéir à une logique lucrative. Depuis lors, les prix de l'eau sont restés bas et subventionnés, mais la société a subi plusieurs conflits administratifs et a dû être opéré.
Face à des difficultés croissantes, paceños font la récolte de l'eau dans toutes les manières possibles. Cette tâche quotidienne est devenue la question la plus importante pour eux et une question importante dans les médias et les réseaux sociaux. Le moins touchés sont des citoyens avec plus de ressources, qui ont des réservoirs dans leurs maisons.
La question a pris une tournure d'une crise politique, ce qui oblige le gouvernement central d'intervenir directement et punir les responsables de l'entreprise, les accusant de ne pas avoir bien planifié à l'avance ce qui pourrait arriver.
Morales a regretté que la négligence de certains mauvais officiers "mal le processus de changement», dit plomb. L'opposition a critiqué les politiques étatistes de Morales et le fait que -aduce- EPSA a été gérée avec des critères politiques.
par FERNANDO MOLINA
pris http://internacional.elpais.com/internacional/2016/11/16/america/1479336820_403756.html
